On a bolégué !
10 11 12. C'était donc bien en cette pluvieuse veille de jour férié dominical (oui, profonde et douloureuse s'avère la découverte d'un jour férié duquel on ne profitera pas plus que ça) que nous étions tous là, au Bolegason, installés bien au chaud sur les canapés pour profiter de cette belle soirée (lire Do you Boleg ?).
Soirée Bolegers
On ne le dit pas assez souvent, mais il faut rappeler que Lo Bolegason propose de l'accompagnement d'artistes sous diverses formes, allant du conseil et la formation à la mise à disposition de locaux de répétition pour les groupes. Et la cerise sur le gâteau, c'est la possibilité, pour les artistes, de se produire lors des concerts Bolegers organisés sur la scène du Boleg'.
Un concert Bolegers, il y en avait justement un ce samedi soir, précédé dans l'après-midi d'un speed-dating professionnel, rencontre entre les groupes et les professionnels du secteur de la musique pour des dates, des aides, des accompagnements, etc.
Nous, on était aux deux. Et on s'est bien amusés, mais aussi bien instruits, en compagnie de Virginie et Guillaume, qui accompagnent les artistes dans leurs projets artistiques et techniques.
Grande scène
Finalement, on passera rapidement sur ce qui fait le bonheur de participer aux activités du Bolegason, que ce soit l'esprit d'entraide qui y règne, l'ambiance, mais aussi la bouffe qui y est servie aux artistes. Rapidement raconté, mais vécu à fond comme à chaque fois.
Car ce que voit le public, c'est le finish : la grande scène ! Ce qui s'y passe est le résultat de la préparation d'artistes qui, bien qu'ayant déjà quelques kilomètres au compteur, ne rechignent pas à se produire sur une scène dont la qualité n'est plus à démontrer.
Les quatre filles et le garçon de The Guts nous ont transportés sur un folk-pop frais et animé, I Lost My Keys nous a emmenés loin, très loin, à planer dans la pâleur des rennes de Sibérie, et Le Minus nous a replongés à coups de tatane et retour de kick dans la réalité d'une salle chauffée à blanc et d'un public survolté.
Ascenseur émotionnel à anneau vibrant, quoi. C'était bon.
Un concert aussi long, ça se vit, certes. C'était gratuit, et la seule bonne excuse qui pouvait prévaloir ce soir-là pour ne pas être présent était sûrement une trop longue distance à franchir, même si d'aucuns ont parcourus près de 400km pour cette seule soirée.
Mais pour les autres, on pouvait suivre cette formidable aventure de chez soi, sur les ondes hertziennes ou par Internet. Youpi !
Enfin, pour les derniers qui ne purent ni assister en chair et en os à cet événement, ni profiter de la soirée confortablement installés dans leurs pénates, le podcast est arrivé !.
Regardez bien à droite de cette page, vous ne pouvez pas le louper !
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