Tempête sur les ondes
Désormais, chaque semaine, c'est la même chose. Bravant les intempéries, parfois violentes et meurtrières (on se souviendra avec tristesse et recueillement de l'ouragan fécal de 2008), l'équipe de Radio Libre, toujours sur le pont, prête à tout pour les auditeurs de RADIOM, en a fait une profession de foi : être là tous les mardis soirs.
Après les Crazy Niouzes, sérieuse émission de Margaux et Fabien (lire : American's Niouzes) et Let There Be Rock (exceptionnellement présenté par les mêmes, lire Let There Be Rock, mardi 6 octobre 2012), trouver sa place n'est pas une mince affaire.
Pas facile de tenir le rythme, surtout avec la particularité de l'émission, que l'on martèle systématiquement (il faut que ça rentre, comme disait Monsieur le curé), qui est de démarrer sans aucune idée de ce qui sera dit à l'antenne.
Certes, pour combler quelque peu ce vide intersidéral, nous pouvons compter sur quelques bonnes âmes, piliers de l'émission, qui se prêtent à chaque fois au jeu des devinettes et de la recherche de sujets.
Mais l'inspirateur principal de Radio Libre réside, à n'en pas douter, dans ses auditeurs, accourant par milliers chaque semaine pour écouter la douce litanie des paroles absurdes que leur poste de radio ou leur lecteur webradio vomit inlassablement.
Et ces auditeurs, ils sont là. C'est lui, c'est elle, et c'est toi. Et c'est aussi ce soir que tu vas, comme tes homologues, te ruer sur le standard téléphonique (09 74 76 81 81), le chat, ou les SMS (en envoyant "RADIOM [ton message]" au 51244, 20cts + coût d'un SMS) pour proposer un sujet à débattre ce soir.
Tu peux d'ores-et-déjà commencer, là, maintenant, tout de suite. Dépose un message sur le répondeur de RADIOM, envoie un SMS que nous lirons ce soir. Tu verras, ton ciel s'illuminera, et tu pourras peut-être passer la prochaine tempête fécale à l'abri. Penses-y.
Et pour achever de t'inspirer sur les nobles intentions de Radio Libre, fais un tour vers le précédent article (lire : We are back !) et écoute le podcast qui va avec (écouter : La Belgique)...
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